USA

Bachar Al-Assad est tombé. Pour une partie du peuple syrien, notamment les exilés, c’est un soulagement et l’espoir d’un retour à une vie civile normale. La chute de Assad a été salué par nombre de progressistes sincères, notamment de militants actifs dans le mouvement de solidarité avec la Palestine. Pourtant leur joie a été paradoxalement partagée par les ennemis irréductibles des peuples : Netanyahou, Erdogan, Macron, Biden…ont multiplié les déclarations victorieuses.

Depuis le 12 janvier, les USA et le Royaume-Uni mènent des frappes aériennes contre les positions du mouvement Ansar Allah, qui gouverne de facto le Yémen Nord et est connu sous le nom de « Houthis », du nom de son fondateur. Ces frappes sont poursuivies au nom de la « liberté maritime » et de la « légitime défense » en réponse aux actions militaires menées par la rébellion houthie contre les navires de marchandises en Mer rouge depuis quelques semaines, et ce afin de couper l'approvisionnement à l'État génocidaire d'Israël ainsi qu'à ses complices.

Après avoir occupé, pillé et ravagé le pays pendant deux décennies, les troupes US et leurs alliés plient bagage. Il n'a fallu que six jours pour que les Taliban prennent le contrôle de la capitale et de toutes les grandes villes, souvent sans tirer un seul coup de feu.

Rassemblement appelé hier par l'UD CGT 13 devant le consulat des États-Unis, en soutien à la lutte du peuple américain contre les violences racistes de la police qui se multiplient !

Communiqué écrit par la Jeunesse Communiste du Bas Rhin le 31 mai dernier. Nous nous y associons pleinement, et l'avons distribué lors des évènements relatifs aux violences racistes et policières à Marseille.

La chambre des représentants vient d'approuver le nouveau budget du gouvernement Trump, qui porte les dépenses militaires au niveau record de 738 milliards. Les démocrates l'ont approuvé à 219 pour et 16 contre alors que les républicains ont voté à 132 contre - 65 pour. Au total le résultat est un large accord à 284 pour - 149 contre. Le budget doit encore passer par le Sénat qui s'est déjà prononcé dans la presse en sa faveur.

Après une longue période de sanctions économiques, d'offensive médiatique et de déstabilisations contre le Venezuela, le président de son parlement vient de s'autoproclamer président en exercice du Venezuela.